La formation e-learning : caractéristiques et spécificités
24 mars 2022
Largement utilisé par les organismes de formation depuis 2020, le e-learning présente aujourd’hui un inconvénient indéniable : la baisse de motivation des apprenants, en attente de relations humaines. Ainsi, nous allons voir à travers cet article quels sont les éléments à mettre en place pour accroître la motivation des apprenants et aider à la mémorisation pour une meilleure assimilation des compétences.
Apprendre tout le temps, partout, sur tout appareil
Le e-learning permet d’apprendre directement depuis là où on se trouve. Il présente également de nombreux autres avantages, que vous pouvez retrouver dans notre précédent article. Les apprenants peuvent, par ce processus, apprendre de façon synchrone ou asynchrone.
Lorsqu’on parle de formation synchrone, les apprenants travaillent en même temps, ce qui est par exemple le cas avec des classes virtuelles. Le formateur exerce son cours dans un espace dédié et est retransmis en direct aux apprenants. Ainsi, les apprenants doivent se connecter à une date et un horaire précis pour accéder au contenu de leur formation.
A l’inverse, la formation asynchrone est consultable à n’importe quel moment par l’apprenant. Le cours est enregistré en amont par le formateur et reste disponible en ligne à tout moment, généralement sur une période donnée.
Pour être efficace, des sondages montrent qu’il est nécessaire de proposer aux apprenants des formations mixtes, mélangeant synchrone et asynchrone, pour permettre aux candidats d’adhérer d’avantage au contenu de la formation. Ainsi, nous pouvons nous interroger sur les méthodes utilisées pour effectuer des formations à distance.
Des méthodes variées pour permettre aux apprenants de s'imprégner de la formation
Depuis l’époque où la formation s’effectuait de façon unilatérale d’un professeur vers des élèves, le processus a bien changé. La récitation d’un cours qui donne suite à une évaluation ne suffisent plus pour aider l’apprenant à acquérir des connaissances et compétences. Aujourd’hui, plus une formation sera pertinente, captivante et interactive et plus son efficacité sera augmentée. Ainsi, avec le développement du numérique, nous allons voir quels sont les méthodes utilisées par les organismes de formation en e-learning pour favoriser l’apprentissage.
Les classes virtuelles, webinaires ou conférences en ligne consistent à diffuser de l’information auprès d’un grand nombre d’apprenants de façon simultanée afin de favoriser les échanges et d’obtenir des interactions en temps réel.
Les cours dispensés par vidéos permettent un apprentissage à distance, de façon asynchrone, qui reste visuellement attrayant. Ce type de contenu a tendance à beaucoup plaire aux apprenants. En effet, un Power Point ne capte pas aussi bien l’attention en e-learning que lors de séquences en présentiel. Ainsi, il est nécessaire de métamorphoser un support de présentation écrit en support vidéo.
Le support vidéo permet une meilleure lisibilité, de l’interaction et une variété de contenu, qui est attendu en e-learning. En effet, la vidéo est un support qui est consultable depuis tous les appareils, sans créer de problème avec les logiciels. Ainsi, la vidéo permet d’outre-passer les limites technologiques. De plus, avec ses différentes formes possibles, une vidéo peut permettre au formateur de personnaliser sa formation. Par essence, la vidéo est plus interactive qu’un simple Power Point, en proposant une plus ample variété de sujets, supports, cadres et outils de démonstration pour évoquer un concept ou un principe du cours. Par son côté “humain”, elle encourage les apprenants à émettre des commentaires et à échanger avec les autres apprenants ou directement avec le formateur. Cela permettra d’ailleurs un approfondissement du cours, grâce aux questions qui seront posées. Pour les aspects pratiques lors d’utilisation de logiciels par exemple, la vidéo est recommandée. En effet, un apprenant comprendra mieux la navigation dans un logiciel grâce à une vidéo explicative plutôt que par la démultiplication de captures d’écran. Il ne faut pas oublier que pour s’adapter au rythme du candidat, la vidéo peut proposer des pauses et des retours en arrière. Ainsi, lors de l’apprentissage d’un logiciel ou d’un outil informatique, la vidéo sera davantage concrète et pourra être suivi en pas à pas.
Les documents audio et podcasts sont, quant à eux, très pratiques. Cependant, ils doivent être attrayants pour ne pas que l’apprenant se détache de leurs contenus.
Les documents écrits, ebooks et articles constituent une base de connaissance qui doit rester accessible à tout moment de la formation pour apporter des informations complémentaires.
Les quizz et les mini-jeux accessibles en ligne lors de la formation sont de véritables ustensiles pour le formateur qui doit s’assurer que les apprenants ont assimilés et intégrés les connaissances et compétences délivrées par la formation. De plus, ce sont de réelles valeurs ajoutées pour l’apprenant qui pourra se tester et autodiagnostiquer ses progressions dans le domaine étudié. A ce titre, ils sont à favoriser lors de formation à distance.
Les simulations VR offrent une expérience unique pour la mise en place de cas pratiques, bien que relativement coûteuse. Les simulations VR proposent aux utilisateurs l’application d’exercices de façon inédite et permet à ceux-ci des essais où les erreurs n’ont pas de conséquences sur le réel.
Il n'est jamais trop tard pour rendre vos modules e-learning plus attractifs
Comme nous venons de le voir, le e-learning se décline de multiples façons pour proposer aux apprenants des parcours personnalisés grâce à la diversité des activités possibles. Cependant, étant encore en “lancement” car utilisé depuis peu de temps par certains organismes de formation, certains formateurs se sentent limité dans leur champ d’action et préfère interagir uniquement par le biais de classe virtuelle, comme il l’aurait fait lors de sessions en présentiel. Or, cela n’est pas très attrayant pour l’apprenant qui pourrait rapidement trouver d’autres occupations chez lui, au détriment du cours donné. Ainsi, il est temps de réfléchir le “e-learning” autrement en lui rendant sa place : le e-learning est, dans les faits, un parfait moyen d’enrichir des formations qui sont déjà réalisées en présentiel, en y apportant une complémentarité. On pourrait donc imaginer, dans le cadre du passage forcé au format e-learning, des activités mixtes, variants classes virtuelles et autres solutions (mini-jeux, quizz, vidéos, exercices, lecture...).
Quelques conseils existent pour vérifier l’utilité d’une formation et garantir la motivation de vos apprenants.
Pour vérifier l’efficacité d’une formation, il est primordial d’étudier les objectifs que celle-ci cherche à atteindre pour ses apprenants.
Une formation a toujours pour objectif principal de partager des connaissances et compétences, afin d’acquérir rapidement un savoir-faire applicable. Les objectifs pédagogiques, eux, sont utilisés comme des repères à la formation. Les objectifs doivent être impérativement travaillé avec le commanditaire avant son lancement. Ainsi, plus les objectifs seront complexes, plus la formation e-learning appliquées devra être travaillée.
Après avoir défini des objectifs pédagogiques et s’être assuré de leur cohérence avec les attentes du commanditaire, l'organisme de formation va préparer le plan et le contenu e-learning. Pour se faire, la formation devra être pensé sous formes d’étapes, qui constitueront le plan. Puis, il faudra détailler ce plan par des méthodes de formation, tels que nous avons vu précédemment.
Le plus difficile dans une formation en e-learning est de s’assurer de l’engagement des apprenants sur toutes les activités. C’est pourquoi, il faudra penser à mixer les méthodes et activités pour rendre la formation attrayante.
Une fois les objectifs et le plan de formation construit, l’organisme de formation va devoir réfléchir aux outils à utiliser pour leur mise en ligne. Généralement, ils possèdent leurs propres outils et abonnement à des LMS (Learning Management System) qu’ils utilisent pour l’ensemble de leur formation.
Lorsque la formation existe déjà, il est tout à fait possible de la repenser. Cela passe en premier par une phase d’analyse de l’existant, en utilisant comme preuve et comme appui les résultats obtenus des enquêtes de satisfaction. Ensuite, l’organisme de formation pourra envisager de retravailler le fond et la forme de sa formation.
Pour retravailler le fond, il faut repenser la formation du point de vue de l’apprenant en s’interrogeant sur ses compréhensions, ce qu’il retient, les utilisations qu’il fait de ses nouveaux acquis, etc. Puis, l’organisme de formation pourra envisager d’utiliser des méthodes préexistantes pour améliorer une formation.
Le modèle 70-20-10 a pour objectif de diviser une formation par ordre de priorité avec 70% d’expérience, 20% de social learning et 10% d’apprentissage formel. L’expérience prend en compte l’utilisation de cas pratiques et d’exercices, qui s’inspirent soit de scénario d’usage ou de phénomène que rencontre l’apprenant. Le social learning consiste à faire intervenir un manager ou un collaborateur pour favoriser la transmission par les pairs et diversifier les sources de savoir. L’apprentissage formel est incontournable pour transmettre des connaissances. Cependant, il ne faut pas lui accorder une trop grande importance pour ne pas lasser l’apprenant.
Comme en communication, la formation peut utiliser le principe du storytelling pour rendre attrayante un contenu de cours. En effet, l’expérience est toujours plus parlante et plus intéressante qu’une liste de principes.
Pour utiliser le storytelling, il est possible de s’appuyer sur la clé d’entrée situationnelle, c’est-à-dire partir d’un contexte connu de nos apprenants pour raconter une histoire dans laquelle on développera sur les pratiques et comportements à faire évoluer. L’apprenant peut ici être placé directement comme le héros de l’histoire qui va devoir passer trois types d’épreuves : qualifiante avec la prise de conscience de ses lacunes, génératrice avec la mise en pratique de nouvelles compétences et glorifiante avec l’installation définitives des nouvelles compétences et la réussite du héros.
Le storytelling s’appuie sur un scénario narratif, reprenant l’écriture problème - quête - victoire. Ainsi, on pourrait inventer une situation que l’apprenant est amené à rencontrer. Celui-ci pourrait répondre d’une certaine façon à cette situation. A la fin de la formation, il faudra revenir sur cette même situation pour permettre à l’apprenant d’observer ses erreurs et ses succès, et qu’il puisse se rendre compte de ses points d’amélioration grâce à la formation.
La troisième méthode qui peut être utilisée pour améliorer une formation est celle des messages clés qui permettra de gagner du temps. En premier, il faudra classer les connaissances invariantes, qui sont des enseignements universels et intemporels, et les connaissances variables, qui sont amenés à évoluer dans le temps ou le contexte. Le but ici est de rassembler les connaissances variables pour penser à les mettre à jour à une période donnée.
Pour retravailler la forme, il faudra repenser aux dispositifs mis en place pour transmettre des informations. En effet, un bon contenu ne suffit pas pour permettre aux apprenants d’assimiler un cours. Il faut que le cours soit accessible, fluide et agréable. Ainsi, il va falloir penser connexion, parcours et design.
Pour un e-learning efficace, il faudra tenter d’atteindre au maximum l’objectif ATAWAD évoqué précédemment. Ainsi, la formation se doit d’être accessible AnyTime, AnyWhere, AnyDevice (tout le temps, partout et sur tout appareil). Pour ce faire, l’accessibilité au module ne doit pas requérir de fortes ressources de connexion (WiFi ou 4G). De plus, il faudra étudier le nombre de clics demandés pour accéder à une formation en ligne et, pour finir, nous allons devoir étudier la compatibilité de nos supports avec les appareils des usagers.
Avant le lancement de la formation, les organismes vont effectuer une session “test” auprès de leurs collaborateurs. Ainsi, on va pouvoir surveiller la bonne conduite de l’ensemble des opérations et collecter des retours de la part des équipes, dans le but d’optimiser le programme de formation.
Une fois la formation fin prête, il sera judicieux d’émettre une mesure de l’efficacité des modules e-learning, ce qui est d’ailleurs obligatoire pour obtenir la certification Qualiopi. Pour cela, les organismes de formations peuvent combiner des questionnaires de satisfaction à chaud avec des questionnaires de satisfaction à froid, et enquêter sur l’assimilation des objectifs qui été prédéfinis dans le programme.

Depuis la crise sanitaire liée au COVID-19, le télétravail s’est imposé comme une nouvelle norme dans de nombreuses entreprises. Ce mode d’organisation, autrefois réservé à certaines professions ou situations particulières, s’est généralisé à une vitesse remarquable. Il présente des avantages indéniables, mais aussi de nouveaux défis pour les managers et les équipes. S’adapter au travail à distance ne va pas de soi. Cela demande un véritable effort d’organisation, de communication, et de gestion de la charge de travail. Le télétravail permet avant tout de gagner du temps. En supprimant les trajets domicile-travail, les salariés retrouvent un équilibre entre vie professionnelle et personnelle, souvent plus difficile à atteindre en présentiel. Il offre aussi davantage de flexibilité, permettant aux collaborateurs de mieux organiser leurs journées. Cependant, ces bénéfices peuvent rapidement s’estomper si le cadre n’est pas bien défini. À distance, certains salariés peuvent se sentir isolés, perdre en concentration, ou souffrir d’une baisse de motivation. Le manque d’échanges informels, la surcharge mentale ou encore les difficultés de communication peuvent vite peser sur la performance globale de l’équipe. C’est pourquoi il devient essentiel de former les collaborateurs aux bonnes pratiques du télétravail. Il ne suffit pas de s’installer avec un ordinateur chez soi. Travailler efficacement à distance nécessite de développer des compétences précises.

Pas besoin d’être ingénieur pour saisir ce qui se cache derrière ces termes On les voit partout : dans les titres de presse, les présentations PowerPoint, les offres d’emploi, les posts LinkedIn parfois un peu trop enthousiastes… "Intelligence Artificielle", "Machine Learning", "Deep Learning". Des mots qui sonnent futuriste, technique, parfois un peu effrayant. Et qui sont souvent utilisés comme s’ils étaient interchangeables. Mais alors, est-ce que tout cela veut dire la même chose ? Pourquoi parle-t-on tant de deep learning maintenant, alors que l’IA existe depuis les années 1950 ? Le machine learning, c’est quoi exactement ? Et où se situent ChatGPT, Siri ou les voitures autonomes dans tout ça ? Si ces questions vous trottent dans la tête, vous êtes au bon endroit. Pas besoin d’un doctorat en informatique : dans cet article, vous trouverez une explication claire, imagée et humaine, pour enfin mettre un peu d’ordre dans ces concepts. L’intelligence artificielle : le grand tout L’intelligence artificielle ( IA ) est le terme le plus large des trois. Il désigne une branche de l’informatique qui cherche à créer des systèmes capables de reproduire, imiter, ou simuler certaines formes d’intelligence humaine. L’idée n’est pas nouvelle. Dès les années 1950, des chercheurs comme Alan Turing ou John McCarthy se demandaient s’il était possible de programmer une machine pour qu’elle "pense" ou "apprenne". Concrètement, l’IA englobe toutes les techniques qui permettent à un ordinateur de résoudre des problèmes de manière "intelligente" : Prendre des décisions Comprendre un langage naturel Reconnaître une image Établir des prédictions Gérer des situations complexes Exemples classiques d’IA : Un logiciel qui joue aux échecs Un assistant vocal qui comprend vos commandes Un chatbot qui répond à vos questions Un système qui détecte des fraudes bancaires L’IA ne désigne donc pas une technique unique, mais un domaine entier , qui comprend une multitude d’approches. Et c’est là qu’entre en scène… le machine learning . Le machine learning : quand les machines apprennent Dans les débuts de l’IA, les machines fonctionnaient principalement sur des règles codées à la main : "Si l’utilisateur dit A, alors fais B". Mais très vite, cette méthode a montré ses limites : trop rigide, trop longue à programmer, et surtout, incapable de gérer des situations imprévues. C’est là qu’arrive le machine learning , ou apprentissage automatique. L’idée principale du machine learning est simple : On ne programme plus la machine pour qu’elle agisse. On lui fournit des données, et c’est elle qui apprend à agir en analysant ces données. Un peu comme un enfant qui apprend à reconnaître un chat en voyant plusieurs chats, au lieu de se faire expliquer ce qu’est un chat avec une liste de critères précis. Le machine learning repose donc sur des algorithmes qui s’entraînent à partir de données (textes, chiffres, images, etc.), et qui s’ajustent au fil du temps pour donner des résultats de plus en plus précis. Exemples d’usage du machine learning : Prédire le prix d’un bien immobilier à partir de données historiques Recommander des films ou des produits sur une plateforme (Netflix, Amazon) Classifier des emails en "spam" ou "non spam" Détecter des anomalies dans une chaîne de production C’est efficace, souple, et surtout... ça peut s’améliorer avec le temps. Et parmi les techniques de machine learning, une famille a pris une ampleur considérable ces dernières années : le deep learning . Le deep learning : l’IA qui s’inspire du cerveau humain Le deep learning , ou apprentissage profond, est un sous-ensemble du machine learning. Ce qui le rend particulier, c’est qu’il repose sur une architecture inspirée du cerveau humain : les réseaux de neurones artificiels . Pour faire simple, imaginez un ensemble de "couches" de neurones (des petits programmes simples) connectés entre eux. Chacun traite une petite partie de l'information, puis la transmet à la couche suivante. Quand ces couches sont nombreuses, d’où le terme "deep", le système devient capable de reconnaître des motifs complexes dans des données brutes, sans qu’on ait besoin de lui dire précisément quoi chercher. C’est cette technologie qui a permis : À Google de traduire des langues avec une précision incroyable À des intelligences artificielles de battre les meilleurs joueurs de Go À des voitures autonomes de repérer les piétons et les panneaux À des modèles comme ChatGPT ou Midjourney de générer du texte, des images, voire de la vidéo Le deep learning est très gourmand en données et en puissance de calcul , mais il offre des performances spectaculaires, surtout dans les domaines comme la vision par ordinateur, la reconnaissance vocale, ou le traitement du langage naturel. Résumons visuellement : Voici une petite analogie pour clarifier : java CopierModifier Intelligence Artificielle (IA) └── Machine Learning (ML) └── Deep Learning (DL) IA : tout système qui imite une forme d’intelligence (large) ML : des systèmes qui apprennent à partir de données (plus spécifique) DL : une méthode de ML basée sur les réseaux de neurones profonds (encore plus spécifique) Pourquoi tout le monde parle aujourd’hui de deep learning (et pas juste d’IA) ? Parce que ce sont les avancées du deep learning qui ont permis les plus grandes révolutions de l’IA moderne : Traduction automatique de qualité Voitures autonomes Diagnostic médical assisté par IA Génération de contenu avec ChatGPT, DALL·E, etc. Mais attention : toutes les intelligences artificielles n’utilisent pas forcément du deep learning. Parfois, une IA basée sur des règles simples ou sur du machine learning "classique" est bien plus adaptée. Tout dépend du contexte, des objectifs, et des ressources disponibles. En conclusion : pourquoi c’est important de comprendre ces différences Comprendre ce que signifient IA, machine learning et deep learning, ce n’est pas juste pour briller dans un dîner ou sur LinkedIn. C’est essentiel pour : Poser les bonnes questions quand on vous parle d’un "produit à base d’IA" Distinguer les vraies innovations des effets de mode marketing Anticiper l’impact de ces technologies dans votre métier, votre secteur, votre quotidien Car l’intelligence artificielle n’est pas un bloc monolithique. C’est un écosystème technologique complexe , en constante évolution. Plus vous comprenez les briques qui le composent, plus vous pouvez vous positionner en acteur (et pas juste spectateur) de cette transformation. Retrouvez toutes nos formations en IA ici

L’intelligence artificielle (IA) transforme le monde et modifie totalement nos pratiques professionnelles. Elle offre une opportunité précieuse à celles et ceux qui savent l’exploiter. Parmi les outils les plus utilisés, ChatGPT et les technologies d’ IA générative se positionnent comme des leviers d’efficacité, de créativité et de croissance personnelle. Parvenir à les dompter fera sans aucun doute la différence dans votre parcours professionnel. L’IA générative, c’est quoi exactement ? Quand on parle d’IA générative, on pense à des outils capables de créer du contenu à partir d’une simple consigne . T exte, image, vidéo, code informatique… tout devient accessible. ChatGPT, développé par OpenAI, en est l’un des représentants les plus connus. Il peut rédiger un mail, créer un plan marketing, expliquer un concept complexe ou même simuler un entretien d’embauche. Mais derrière la simplicité d’utilisation se cache un levier de productivité et d’adaptabilité qui peut vraiment faire la différence dans une carrière. Pourquoi apprendre à utiliser ChatGPT ? 1. Gagner du temps sur les tâches répétitives Que vous soyez cadre, entrepreneur ou étudiant, ChatGPT peut vous aider à automatiser des tâches chronophages : rédaction d’e-mails, synthèse de documents, création de contenu ou génération de scripts. Cela libère du temps pour vous concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée. 2. Améliorer la qualité de vos productions Grâce à ses capacités linguistiques et son accès à des milliards de données, ChatGPT peut vous assister dans la relecture, la traduction, la rédaction de rapports ou même la création de plans de projet. Il devient un assistant virtuel qui enrichit vos idées et structure vos pensées. 3. Booster votre créativité L’IA générative n’est pas seulement fonctionnelle, elle est aussi inspirante. Elle peut suggérer des idées d’articles, des concepts marketing, des approches pédagogiques ou des scénarios innovants. Elle stimule votre créativité en vous sortant des sentiers battus. 4. Développer de nouvelles compétences Savoir interagir efficacement avec un agent conversationnel est une compétence recherchée. Apprendre à écrire des prompts pertinents, analyser les résultats générés, affiner les réponses… tout cela fait partie d’un nouveau savoir-faire numérique très valorisé. Dans quels métiers l’IA générative est-elle un atout ? L’impact de ChatGPT ne se limite pas aux métiers techniques. De plus en plus de professions intègrent l’usage de l’IA : Marketing digital : création de contenus, campagnes automatisées, SEO Ressources humaines : tri de CV, rédaction de fiches de poste, aide au recrutement Éducation et formation : création de supports pédagogiques, tutoriels personnalisés Développement informatique : génération de code, documentation Journalisme et communication : rédaction d’articles, titres, scripts vidéo Les bonnes pratiques pour tirer le meilleur de l’IA Utiliser l’intelligence artificielle, ce n’est pas juste cliquer et espérer le meilleur. Pour que les résultats soient vraiment utiles, il y a quelques habitudes simples à prendre. D’abord, il faut être clair dans ce qu’on demande. Une question trop vague, c’est un peu comme donner des directions floues à quelqu’un qui ne connaît pas la route : vous risquez d’avoir une réponse à côté. Plus vous êtes précis dans vos demandes, plus l’IA vous proposera des réponses pertinentes, et parfois même étonnamment fines. Ensuite, ne vous arrêtez pas à la première réponse. C’est souvent en ajustant un mot, en reformulant une phrase ou en précisant un objectif qu’on obtient exactement ce qu’on cherche. L’IA, ça se pilote. Et ça s’apprend en testant, en affinant, en osant explorer plusieurs pistes. Mais attention : ce n’est pas parce que c’est bien écrit que c’est forcément vrai. L’IA ne sait pas toujours faire la différence entre une info exacte et une erreur bien formulée. Sur tout ce qui touche à l’actualité, aux données précises ou aux faits sensibles, mieux vaut garder un œil critique et vérifier. Enfin, il faut garder à l’esprit que ces outils ne sont pas là pour penser à votre place. Ce sont des assistants, pas des remplaçants. Votre regard, vos idées, votre jugement : c’est ça qui fait la vraie valeur de votre travail. L’IA vient juste donner un coup de main pour aller plus vite, ou plus loin. L’IA ne remplace pas l’humain, elle l’augmente Contrairement aux idées reçues, l’IA ne vise pas à remplacer les professionnels mais à augmenter leur intelligence et leurs capacités. Celles et ceux qui sauront s’en servir deviendront plus agiles, plus efficaces, et plus compétitifs sur le marché de l’emploi. Dans un monde en constante évolution, la maîtrise de l’intelligence artificielle générative comme ChatGPT n’est plus une option, c’est une nécessité. Que vous soyez salarié, indépendant ou en reconversion, prendre le temps de vous former à ces outils peut transformer votre trajectoire professionnelle. L’IA n’est pas l’avenir, elle est déjà le présent. Et c’est à vous d’en faire un atout. Suivez notre formation " Créer des contenus visuels et rédactionnels optimisés avec un usage responsable de l'IA générative." 📍 Retrouvez toutes nos formations sur : www.lespratiques.fr Pour toute question, contactez-nous par mail : hello@lespratiques.fr ou par téléphone : 06 62 34 94 97

Aujourd’hui, savoir manier les outils de design graphique, c’est presque aussi essentiel que savoir écrire un mail ou créer une présentation PowerPoint. Mais créer de vrais supports de communication efficaces, des visuels structurés, pensés pour un public ciblé, c’est un autre niveau. Et c’est exactement ce que propose notre formation « Créer des supports de communication avec un outil de design graphique à distance » proposée par notre organisme de formation LESPRATIQUES . Que vous soyez entrepreneur, freelance, ou même salarié·e dans une TPE/PME, vous allez vite comprendre pourquoi cette formation est utile, bien conçue… et surtout, accessible . Une formation pensée pour tout le monde La formation s’adresse à des profils très variés : pas besoin d’être graphiste ou de savoir manier Photoshop comme un pro. Elle s’adresse aux communicants du quotidien : ceux qui doivent produire une affiche pour un événement, créer un carrousel Instagram pour leur entreprise, ou encore mettre en forme une newsletter pour un public interne. On y apprend à faire simple, beau, et surtout, efficace. Canva est au cœur de la pédagogie : un outil intuitif, visuel, puissant, et accessible. En parallèle, vous découvrirez comment utiliser l’intelligence artificielle pour aller plus loin, comme générer des idées de visuels avec ChatGPT, ou utiliser l’IA native de Canva pour transformer un prompt en design prêt à l’emploi. La formation est 100 % à distance , ce qui permet de la suivre à son rythme. Elle s’étale sur environ 3mois, avec 35 heures au total, dont 12 heures en tutorat individuel . Une vraie montée en compétences, sans jargon ni complexité inutile Le cœur de la formation, c’est une montée en compétences progressive : on commence par revoir les bases de la communication visuelle (c’est fou ce qu’on oublie parfois), et on avance doucement vers la maîtrise d’un outil graphique (comme Canva, Adobe Express ou autre) selon ses besoins. Parmi les sujets abordés : Comment choisir les bons visuels et les harmoniser L’importance de la hiérarchie visuelle (spoiler : ça change tout) Les bases de la typographie, des couleurs, des formats Et surtout, comment utiliser des outils d’intelligence artificielle pour générer des visuels originaux en quelques clics Un vrai accompagnement, pas juste une formation vidéo de plus Le gros plus ? Le format blended learning. Ce n’est pas juste une série de vidéos à regarder dans son coin. Il y a une plateforme e-learning bien pensée, des ressources claires, des exercices pratiques, et surtout un formateur qui suit votre progression, corrige vos créations, vous pousse à aller plus loin. On n’est jamais seul·e dans son apprentissage. Et c’est ce qui rend cette formation particulièrement motivante et humaine. Une certification à la clé, et un vrai boost de crédibilité À la fin de la formation, si vous le souhaitez, vous pouvez passer une certification reconnue par France Compétences (RS7068). Cela peut faire une vraie différence, que ce soit pour valoriser vos nouvelles compétences sur LinkedIn, dans votre CV ou auprès de vos clients. Autre point non négligeable : la formation est éligible au CPF . En résumé : une formation utile, concrète, et tournée vers l’avenir Si vous cherchez à : Créer des visuels pros sans forcément passer par une agence, Maîtriser un outil de création graphique simple et puissant, Comprendre les bases du design visuel et de la communication graphique, Et expérimenter des outils d’IA sans tomber dans les pièges habituels... Alors cette formation mérite clairement votre attention. On en ressort non seulement avec des compétences, mais aussi avec de l’assurance. Et franchement, en matière de communication, ça n’a pas de prix. 👉 Pour en savoir plus ou vous inscrire, ça se passe ici : Créer des supports de communication avec un outil de design graphique à distance Si vous avez des questions ou hésitez encore, n’hésitez pas à nous contacter. Découvrez l'ensemble de nos formations en Intelligence Artificielle ici .